Anna est artiste. Son ex-mari Magnús, pêcheur, est très souvent en haute mer. Ils ont trois enfants et sont séparés depuis peu. En l’espace d’une année, entre légèreté de l’instant et profondeur des sentiments, se tisse un portrait doux-amer de l’amour, avec des touches de tendresse, de joie et parfois de mélancolie…

 Le réalisateur islandais Hlynur Pálmason explore dans « L’amour qu’il nous reste » ce qui nous rapproche et ce qui nous unit à jamais. Il réussit à créer des métaphores visuelles marquantes, un mélange d'images réalistes de la vie de famille et de séquences inattendues, souvent oniriques. Il en résulte une atmosphère surprenante, d'un humour subtil, qui se concentre sur des émotions et sentiments universels comme l'amour ou la tristesse des parents, des enfants et de Panda, leur chien.